Réflexions du samedi matin
L’amour virtuel c’est peut-être mieux finalement ?
Je ne me suis pas levé ce matin en me posant cette question, je ne suis pas totalement débile quand même. C’est juste qu’hier soir, j’ai revu une connaissance qui entretient une relation virtuelle avec les USA qui marche à merveille, depuis bientôt 2 mois. Bien sûr aucun contact en direct live ne s’est encore produit mais ça ne saurait tarder ! Rencontre prévue en décembre.
Bref, ce type de relation me semble intéressant sur plusieurs points. Le premier, et il est de taille, c’est que quand on ne veut pas se voir, il suffit de ne pas allumer son ordi, un point c’est tout. Pas besoin d’excuses à 2 balles ou d’une franchise un peu trop brutale. De ce fait, quand on se retrouve c’est uniquement pour dialoguer, pour se dire des choses, parce qu’on a envie de se voir. Finis les longs silences pesants qui s’installent parfois et qu’on a envie d’envoyer bouler ! Ok, y’a pas de contact direct, de caresses & Co mais y’a pas non plus de prises de tête et de disputes.
Voilà, c’était juste ma pensée du samedi matin. J’avais pas envie d’allumer la TV donc j’ai médité ! J’ai vite arrêté, je sentais qu’une migraine était en train de pointer le bout de son nez… Je ne sais pas pourquoi ça me fait souvent ça quand je réfléchis. Pour m’occuper j’ai commencé à visionner le 1er épisode de la Saison 2 de Prison Break. Et alors là, j’ai rien compris, j’ai tout arrêté. J’avais carrément oublié comment se terminait la Saison 1… Du coup, j’ai immédiatement remis le dernier épisode de la saison précédente. Après ça allait mieux, j’ai enchaîné sur la Saison 2 et franchement le 1er épisode déchire sa mémé ! Je ne sais pas comment j’ai fait pour m’arrêter là. Il donne cruellement (ce mot fait un peu tâche mais je cherchais un synonyme de franchement utilisé 2 lignes au-dessus et les suggestions de word n’étaient pas franchement alléchantes) envie d’enchaîner sur le second. Mais bon, toute la semaine j’attends le WE pour faire des choses donc passer le samedi au lit n’est pas hyper constructif… En même temps vu le temps de merde qui s’annonce, l’appel du lit est bien tentant (en plus j’ai le rhume)… Quoi faire à part ça ?!! J’ai bien envie d’aller chez le coiffeur, je recommence à avoir ma tête de cul de fin de mois (ouais, j’ai décidé d’aller chez le coiffeur une fois par mois même si je suis économe parce que le look c’est vachement important dans la vie) mais en même temps, j’ai la possibilité d’y aller tous les jours de la semaine, y’en a un à côté de mon taff, alors qu’aujourd’hui ça risque d’être bondé. Comme les magasins… Comme les expos… Comme à peu près tous les lieux de cette capitale… C’est ça le problème ici… Y’a trop de gens ! Je vais donc mettre une casquette. Sa visière aura au moins le double avantage de dissimuler ma coiffure de cul et de me permettre d’ignorer la gueule des parigos dans le Métro ! Parce qu’y a pas à dire, y’en a qui font trop peur !
Ceci étant, le smilblic n’a pas vraiment avancé. Je ne sais toujours pas ce que je vais bien pouvoir faire. J’ai bien un livre à lire… mais il est gros… je l’ai trouvé au rayon sociologie de la Fnac, je ne sais pas ce qui m’a pris… il me fait peur… Je vais aller manger peut-être devant un second épisode de Prison Break et je verrai après ! By.
Bref, ce type de relation me semble intéressant sur plusieurs points. Le premier, et il est de taille, c’est que quand on ne veut pas se voir, il suffit de ne pas allumer son ordi, un point c’est tout. Pas besoin d’excuses à 2 balles ou d’une franchise un peu trop brutale. De ce fait, quand on se retrouve c’est uniquement pour dialoguer, pour se dire des choses, parce qu’on a envie de se voir. Finis les longs silences pesants qui s’installent parfois et qu’on a envie d’envoyer bouler ! Ok, y’a pas de contact direct, de caresses & Co mais y’a pas non plus de prises de tête et de disputes.
Voilà, c’était juste ma pensée du samedi matin. J’avais pas envie d’allumer la TV donc j’ai médité ! J’ai vite arrêté, je sentais qu’une migraine était en train de pointer le bout de son nez… Je ne sais pas pourquoi ça me fait souvent ça quand je réfléchis. Pour m’occuper j’ai commencé à visionner le 1er épisode de la Saison 2 de Prison Break. Et alors là, j’ai rien compris, j’ai tout arrêté. J’avais carrément oublié comment se terminait la Saison 1… Du coup, j’ai immédiatement remis le dernier épisode de la saison précédente. Après ça allait mieux, j’ai enchaîné sur la Saison 2 et franchement le 1er épisode déchire sa mémé ! Je ne sais pas comment j’ai fait pour m’arrêter là. Il donne cruellement (ce mot fait un peu tâche mais je cherchais un synonyme de franchement utilisé 2 lignes au-dessus et les suggestions de word n’étaient pas franchement alléchantes) envie d’enchaîner sur le second. Mais bon, toute la semaine j’attends le WE pour faire des choses donc passer le samedi au lit n’est pas hyper constructif… En même temps vu le temps de merde qui s’annonce, l’appel du lit est bien tentant (en plus j’ai le rhume)… Quoi faire à part ça ?!! J’ai bien envie d’aller chez le coiffeur, je recommence à avoir ma tête de cul de fin de mois (ouais, j’ai décidé d’aller chez le coiffeur une fois par mois même si je suis économe parce que le look c’est vachement important dans la vie) mais en même temps, j’ai la possibilité d’y aller tous les jours de la semaine, y’en a un à côté de mon taff, alors qu’aujourd’hui ça risque d’être bondé. Comme les magasins… Comme les expos… Comme à peu près tous les lieux de cette capitale… C’est ça le problème ici… Y’a trop de gens ! Je vais donc mettre une casquette. Sa visière aura au moins le double avantage de dissimuler ma coiffure de cul et de me permettre d’ignorer la gueule des parigos dans le Métro ! Parce qu’y a pas à dire, y’en a qui font trop peur !
Ceci étant, le smilblic n’a pas vraiment avancé. Je ne sais toujours pas ce que je vais bien pouvoir faire. J’ai bien un livre à lire… mais il est gros… je l’ai trouvé au rayon sociologie de la Fnac, je ne sais pas ce qui m’a pris… il me fait peur… Je vais aller manger peut-être devant un second épisode de Prison Break et je verrai après ! By.